LA PUISSANCE DU PARDON :

Aussi petite que je puisse me rappeler, je n’ai jamais aimé les hommes, à cause du mal qu’ils m’ont fait subir. Et j’ai continué de les détester pour le mal qu’ils continuaient de me faire. Ceux que je détestais principalement, étaient mon père en premier lieu, puis le père de mes filles. Mon père étant décédé, mes mauvaises paroles et mon venin, étaient concentrés sur le père de mes filles (qui m’en faisait voir de toutes les couleurs).

A ma conversion, le Seigneur m’a demandé de pardonner à mon père. Ce fut difficile, mais j’étais parvenue à le vivre. Puis le Seigneur m’a demandé de pardonner aussi au père de mes filles ! Ce fut beaucoup plus compliqué car il était encore à proximité à cause de mes filles qu’il rencontrait régulièrement. Je me suis entendu dire à Dieu : « Mais si je lui pardonne, qui donc vais-je pouvoir critiquer ? »

Cette phrase a fait écho dans mon cœur, et j’ai vu la noirceur qui y régnait. J’étais mal, j’avais honte de toutes ces années à cracher du venin (probablement justifié aux yeux des hommes). Mais j’ai compris que ce venin faisait partie de moi. J’ai également compris qu’en critiquant, c’était des paroles de mort que je déclarais et non des paroles de vie. En demandant pardon à Dieu pour cette méchanceté qui ne lui plaisait pas, et en donnant mon pardon au père de mes filles, je me suis dépouillée de cette vieille nature qui vivait encore en moi.

L’attitude du père de mes filles a d’ailleurs complètement changé après cette repentance.  Loué soit Dieu ! (M-L)

GUERISON SPONTANEE :

Hier matin, notre fille de 22 ans nous téléphone en larmes, demandant ce qu’elle doit faire car une terrible douleur dans le bas du dos l’a réveillée en pleine nuit et l’empêche de bouger depuis.

Nous lui conseillons immédiatement d’appeler le samu. Mais avant de raccrocher, nous décidons de prier ensemble en prenant autorité sur cette douleur. Elle nous rappelle 20 minutes plus tard, disant qu’elle n’a pas appelé le samu car la douleur est partie en 5 secondes de temps.

Le soir, elle nous racontera qu’elle a pleuré encore plus fort après que la douleur soit partie, émerveillée qu’elle était, de la puissance de la guérison de Dieu et surtout de son amour pour elle.   Merci Seigneur ! (M.)